Kendrick Lamar • Mother I Sober (feat. Beth Gibbons of Portishead)
Il était une fois, il y a bien longtemps, un petit gars nature (cf. photo), MAURICE MASSIAH, surgit de nulle part, qui a sorti ce qu'on peut considérer sans mauvaise foi un traité ultime de la funk, et puis s'éclipsa, disparu, pouf comme ça plus rien, retourné dans l'ombre immédiatement après. Une galette obscure mais qui mérite toutes les louanges du monde. Difficile à trouver en disque, jamais remasterisé (les versions CDs existantes ne sont que du rachat catalogue sans travail de remaster), impossible à se payer avec un SMIC de toute façon, ce disque facilement trouvable par vos propres moyens digitaux reste l'alpha de la funk à tous points de vue.
Des sommets de slap. Des lignes de basse qui renvoient Delegation et Shalamar parfois loin. Des guitares survitaminées, au son clair et au riff aussi dévastateur que dansant. Et la voix de Maurice, parfaite, enchanteresse, portée sur des textes.... funk. Ca love, ça fait la fête, ça séduit.... bon. Et ça tombe bien, on en parle juste avant la Saint Valentin, parce qu'y a pas à chier, un bon groove pour conclure, y a pas mieux. Et c'est cadeau, vous me direz merci après avoir serré sur du Maurice Massiah, parce que vous vous sentirez super classe. Stay tuned pour le mia ! Un petit extrait pour vous donner envie de mourir de perfection funk.
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