Zeeland • Dollar Dream
On n’est pas bien là, dans ce grand bain d’eau frémissante ? Parce qu’ils nous font bien mijoter les petits coquins au conseil des ministres.
Ils nous font bien mijoter parce qu’hier devait être prononcée la probable dissolution des Soulèvements de la Terre ; annonce qui a déjà été repoussée une première fois, et on ne serait d’ailleurs pas étonné qu’elle le soit de nouveau dans les jours à venir. Eh oui, au risque de vous surprendre, c’est pas si simple de dissoudre un mouvement aussi transversal et fédérateur que celui des Soulèvements de la Terre.
Mais cette menace de dissolution est un terreau fertile ! Qu’il soit dissous ou pas, le mouvement est encore bien loin de se taire, il ne va pas s'arrêter de pousser, car la lutte continue et à la façon d’une hydre, pour paraphraser notre cher Alain Damasio, coupe-zy la tête et dix de retrouvées ! Ou même cent… mille ! Autant que vous voulez, servez-vous, y en a pour tout le monde (sauf pour les fachos) !
Y en a pour tout le monde, je parle bien entendu de ces multiples collectifs qui se forment et qui puisent dans ce terreau fertile pour germer, un peu partout sur le territoire, portés par une flamme d’espoir, une flamme qui éclaire tout un tas d’alternatives face aux terroristes du monde moderne, les capitalistes, les productivistes sans scrupules qui détruisent tout sur leur passage, au mépris de nos vies et du vivant.
Mais en attendant, c’est bien nous, le peuple, les légitimes, les ardents, les vivants, c’est bien nous la terre qui se défend, c’est bien nous la terre qui se soulève. C’est nous les frémissants, c’est nous qui sommes prêts à bouillir, parce que ce qu’ils n’ont pas compris, les coquins du conseil des ministres et assimilés, c’est que c’est aussi nous qui sommes le feu, et c’est aussi nous qui tenons les casseroles !
Dans ce frémissement de révolte contre les projets écocidaires, les naturalistes des terres sont un de ces collectifs récents dont les actions visent à redonner des conditions adaptées aux espèces sauvages pour qu’elles puissent retrouver leur place au sein des écosystèmes.
Et évidemment, tout ça, ça passe par une bonne connaissance des espèces sauvages.
Paris n’y échappe pas, puisque des espèces sauvages sont aussi présentes ici dans la capitale. C’est le cas notamment, de certains rapaces, qui sont étudiés au peigne fin par les scientifiques franciliens. Alors comment et pourquoi on observe des rapaces à Paris, qu’est-ce que les scientifiques observent et comment agir pour la protection de ces espèces… rendez-vous dans ce nouveau numéro de l'happy hour scientifique pour le savoir !
Musiques
Invité Hugo de Vergès Les arsouilles Marion Barbé, Laurène Sarradin Le serveur Pierre-Yves Lerayer La patronne du bar Sybille Buloup
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